La consultation chiropratique se déroule en 3 étapes :
L’anamnèse:
Au vu de vos antécédents personnels, de la description de vos habitude de vie et de vos symptômes, ainsi qu’à l’aide de vos imageries médicales, le chiropracteur se fait une première idée sur la cause de vos douleurs.
L’examen clinique et chiropratique :
Le chiropracteur procède ensuite à un examen physique complet. Il évalue votre posture, effectue des tests neurologiques et orthopédiques, puis a recours à son examen chiropratique. à cette issue il a une idée bien plus précise de l’aide qu’il pourra vous apporter.
L’ajustement chiropratique :
S’il juge pouvoir vous aider, vous recevrez alors un traitement chiropratique appelé « ajustement » : votre chiropracteur aura recours aux technique adaptées selon vos symptômes, votre âge et votre physique afin de vous soulager.
NB : il est possible qu’à l’issue d’une de ces trois étapes, votre praticien juge nécessaire de vous référer à un autre professionnel de santé ou d’avoir accès à des examens complémentaires avant d’envisager la suite de votre prise en charge.
Questions fréquentes :
Est-ce que ça fait mal ?
La majorité des techniques utilisées sont indolores, et soulagent immédiatement. Parfois pour l’efficacité du traitement, le chiropracteur doit appuyer sur des zones plus sensibles. Cela restera toujours supportable et votre chiropracteur restera à votre écoute. 1 à 3 jours après la séance, certains patients ressentent parfois de légère courbatures, des symptômes accrus ou une fatigue inhabituelle. Ces manifestations sont liées à une réaction d’adaptation physiologique normale de votre corps face aux changements effectués.
Faut-il une ordonnance pour pouvoir consulter ?
Votre médecin peut vous conseiller de consulter un chiropracteur. Toutefois ceci n’est en aucun cas nécessaire à votre venue au cabinet.
La chiropraxie est une profession de santé de première intention, c’est à dire que vous n’avez nul besoin de prescription médicale pour vous présenter. La formation du chiropracteur lui confèrent les compétences suffisantes pour déterminer si vous présentez ou non une contre-indication à une partie ou à la totalité de ses techniques chiropratiques.
La chiropraxie étant remboursée par les mutuelles et non par la sécurité sociale, la présence ou non d’une prescription médicale n’influencera pas le coût de la séance.